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POÈMES

  • “Mémoire des fleuves” BERNARD Audrey

Préface

MÉMOIRE DES FLEUVES PRÉFACE AUDREY BERNARD

« Le poète, dans le mouvement qui l’entraîne et qu’il domine, reste attaché aux racines qui lui ont donnée l’être. Le soleil même, qui nourrit nos désirs, se laisserait prendre aux sortilèges de ce piège. Notre regard sur l’univers vient de là, de ce pays où la maison d’enfance est « scellée à la terre ».

Si la ville est « adossée à la falaise » comme pour se protéger des éléments, nous éprouvons le besoin de suivre le cours des rivières et des fleuves jusqu’à l’estuaire, d’accompagner vers la haute mer l’embarcation des rêves, de nous exiler parfois.

Avec nos questions, sans cesse nous avançons dans les temps. Réels ou imaginaires, nous parcourons les espaces. La lumière bouge avec nous. Notre ombre se déplace. Il arrive que le jour nous blesse, que la nuit s’illumine. Souvent, dans ces pays du nord de la France auxquels l’inspiration d’Audrey Bernard reste si fidèle, brouillards et pluies assombrissent les regards les plus clairs.

Nous sommes des « navigants de la nuit ». Des complots se trament contre les vivants que nous sommes encore. En ces lieux meurtris par l’histoire, comment n’évoquerait-ont pas, même avec discrétion, les supplices endurés, les fleurs de sang, les maison incendiées ? La peur, née de la nuit, gagne sur le jour. Nous nous laisserons absorber par les ténèbres.

Aux fontaines, sources de vie, viennent boire les chevaux de la mort. La braise, que préservaient les nomades témoignera du passage de ceux qui ne sont plus.

Dans les prismes de la mémoire, le temps se brise comme se divise la lumière. Le monde va se défaire. Cela se lit dans les murs, dans notre corps. La vie se lézarde. Quelle est cette étrangère ? Pourquoi l’appelle-t-on (se désigne-t-elle) ainsi ? Dans nos moindres déplacements, quand nous sentons que la lumière change, quand nous percevons que la nuit s’avance, nous comprenons que l’Étranger est « en chemin ». Ce tout autre que nous, cet impensable, qui nous laisse errer entre la pensée de l’être et l’appréhension du néant, ne serait-il pas le compagnon de nos jours, de nos nuits? Ne nous serait il pas subconstanciel ? Sont en question quand les plages s’éloignent de nous-mêmes, que la mer s’alourdit, se desséché, l’essence de l’homme et son identité. Depuis la mort des dieux, nous avons perdu notre propre trace.

La structure équilibrée du poème, la cohérence de la pensée et de l’image, la précision du verbe, qui n’exclut pas les plus subtiles harmoniques, en nous cacheront pas la gravité de l’interrogation. Celle-ci est permanente. Saurons-nous rallumer les feux, retrouver la chaleur de notre étreinte avec le monde, le bonheur d’être au sein de l’être ? L’écriture qui nous aura permis de faire resurgir le plus clair d’une enfance où l’on évitait de parler d’une mort partout présente, ne risque-t-elle pas de nous apparaître comme un vain exercice contre l’inéluctable ? Les mots, qui renforcèrent notre raison d’être, chargés d’évocations et de sens dans l’agencement particulier que savent leur donner les poètes, ne retourneront-ils pas à la nuit ? Le silence qui les entoure, qui pourrait être celui du recueillement et de la paix, ne porte-t-il pas contre les plus purs poètes une sourde condamnation?

Audrey Bernard saura remonter vers l’eau vivifiantes des origines. Elle reconnaîtra la blancheur de l’aube, les feux de l’aurore et du couchant, le bleu du ciel à midi, l’outremer profond de l’espérance au creux des nuits, les ailes de l’oiseau.

Sans que puisse être résolue l’énigme qui nous tourmente, alors même que l’idée de l’éternel reste pénétrée du sens de l’éphémère, Audrey Bernard, dans le cheminement du poème vers la clarté, ira jusqu’à sacraliser la nuit. Les poètes n’en auront jamais fini avec la lumière »

Serge BRINDEAU

“Plus longues fièvres/ rire étranglé au bord des larmes/ Il faut à présent nous soumettre/ laisser la peur griffer le jour/ Encore un peu de sel pour raconter la mer/ Le piège se referme où était la maison/ désarticules les campagnes/ Qui se souvient alors de leurs cris sans visage.”


“Et toi lumière/ à cet instant de non-vouloir/ quelle et plus forte nostalgie/ d'un pays levé sur la brume/ tenu secret par la distance/ énigme à l'aube des regrets/ Et par quelle autre désirer/ ce lieu où convergeaient nos vies.”


“Perfectible est la main/ qui traduit les signes de la terre/ Calligraphier devient le jeu des nuits/ en leur extrême lassitude/ S'égarent un peu les mots/ que disent les aveugles/ mais qu'on voudrait marquer de rouge/ avant de disparaître.”


“La mer se dessèche/ et la terre crevassée sous la poussée du feu/ peint contre le soleil une fresque de mort/ De lourds chevaux tirent le soir/ les barques vers l'amont/ Ils trouvent là muraille de repos/ avec des tours pour garder les nuages/ Non pas le but mais le passage/ et jusqu'aux terre des vivants”


“Tels nous étions alors/ plus libres que vent au-dessus des déserts/ Nous voyagions en des pays imaginaires/ où le rêveur ne peut mourir/ Avons-nous quitté cet espace / et la trace de nos désirs/ amour phénix au regard clair?”


“Enracinée / Collée au vent/ Battue de pluie/ Je suis/ mais perceur de murailles/ j'avance/ en côtoyant d'innombrables destins.


“Eclat brûlant de la lumière/ à la surface des étangs/ Midi/ Soleil piégé dans ses racines/ et tant d'appels dans l'entrelacs des joncs/ Insectes musiciens sous la coupole/ avec le vert accroché aux cimaises/ Plus tard un cri d'orfraie/ noiera le ciel accoudé à la souche.”

Cartes

Canal de Nantes-Redon

nantes_carte.pdf

Contes

L’eau de la terre

https://www.iletaitunehistoire.com/genres/contes-legendes/lire/l-eau-de-la-terre-biblidcon_041 Source : Collectif, L'Océanie, ill. Peggy Nille, Circonflexe

Une grenouille vivait au bord d'un trou rempli d'eau, près d'un ruisseau. C'était une petite grenouille verte, discrète, ordinaire. Elle avait envie de devenir extraordinaire et réfléchissait au moyen de se faire remarquer. À force d'y penser, elle eut une idée. Elle se mit à boire l'eau de son trou, à boire, à boire…, et elle la but jusqu'à la dernière goutte ! Et elle commença à grossir. Ensuite elle se mit à boire l'eau du ruisseau, à boire, à boire…, et elle la but jusqu'à la dernière goutte ! Et elle grossissait de plus en plus. En suivant le lit du ruisseau, elle arriva à la rivière, et elle se mit à boire l'eau de la rivière, à boire, à boire…, et elle la but jusqu'à la dernière goutte ! Et comme la rivière se jetait dans le fleuve, elle alla près du fleuve, et elle se mit à boire l'eau du fleuve, à boire, à boire…, et elle la but jusqu'à la dernière goutte ! Et la grenouille gonflait, gonflait ! Comme le fleuve se jetait dans la mer, la grenouille alla jusqu'au bord de la mer, et elle se mit à boire l'eau de la mer, à boire, à boire…, et elle la but jusqu'à la dernière goutte qui était la dernière goutte d'eau de toute la terre. Son ventre, ses pattes, sa tête étaient gorgés d'eau, et même ses yeux, qui devinrent tout globuleux. La petite grenouille était maintenant extraordinaire, gigantesque ; sa tête touchait le ciel ! Les plantes avaient soif, les animaux avaient soif, et les hommes aussi avaient terriblement soif. Alors tous se réunirent pour chercher un moyen de récupérer l'eau de la terre. « Il faut qu'elle ouvre sa large bouche afin que l'eau rejaillisse sur la terre. – Si on la fait rire, dit quelqu'un, elle ouvrira la bouche, et l'eau débordera. – Bonne idée » dirent les autres. Ils préparèrent alors une grande fête, et les animaux les plus drôles vinrent du monde entier. Les hommes firent les clowns, racontèrent des histoires drôles. En les regardant, les animaux oublièrent qu'ils avaient soif, les enfants aussi. Mais la grenouille ne riait pas, ne souriait même pas. Elle restait impassible, immobile. Les singes firent des acrobaties, des grimaces, dansèrent, firent les pitres. Mais la grenouille ne bougeait pas, ne riait pas, ne faisait même pas l'esquisse d'un sourire. Tous étaient épuisés, assoiffés, quand arriva une petite créature insignifiante, un petit ver de terre, qui s'approcha de la grenouille. Il se mit à se tortiller, à onduler. La grenouille le regarda étonnée. Le petit ver se démena autant qu'il put. Il fit une minuscule grimace, et… la grenouille éclata de rire, un rire énorme qui fit trembler tout son corps ! Elle ne pouvait plus s'arrêter de rire, et les eaux débordèrent de sa bouche grande ouverte. L'eau se répandit sur toute la terre, et la grenouille rapetissa, rapetissa. La vie put recommencer, et la grenouille reprit sa taille de grenouille ordinaire. Elle garda juste ses gros yeux globuleux, en souvenir de cette aventure.

La legende de Lorelei

https://chantecler18.wordpress.com/2012/04/02/le-mythe-de-la-lorelei/

« On dit que la Lorelei était une sirène qui apparaissait assise sur le rocher dès que la nuit tombait, peignant ses longs cheveux d’or et chantant des mélodies envoûtantes. Les marins qui passaient trop près du rocher étaient complètement ensorcelés par la beauté de la sirène et par ses chansons. Ils perdaient le contrôle de leurs bateaux qui se brisaient sur le rocher, causant ainsi la mort de nombreux marins. Ronald, jeune et courageux guerrier, fils du comte palatin du Rhin, entendit un jour parler de la beauté divine de cette femme. Il brûlait d’envie d’aller la contempler. Ainsi, il fit semblant de partir à la chasse pour s’embarquer en réalité sur un bateau qui devait le conduire au rocher de la Lorelei. Lorsqu’il aperçut la fille à la tombée de la nuit, qui le regarda en chantant ses douces mélodies, il en fut tellement ébloui qu’il se jeta par-dessus bord pour la rejoindre. Il fut aussitôt englouti par le fleuve, tandis que le chant mystérieux de la sirène reprit, un peu plus tristement. Lorsque le comte palatin apprit la mort de son fils, il décida de mettre fin au charme destructeur de la Lorelei. Armé d’un puissant équipage, il descendit le Rhin afin de s’emparer de la sorcière. Pendant que des hommes armés cernaient le rocher, d’autres le gravirent jusqu’à ce qu’ils virent l’apparition au bord de la falaise. Mais leur plan de la jeter dans le vide échoua : la jeune fille, menacée, appela d’un chant son père, le Rhin, pour qu’il vienne la chercher. Et aussitôt, une tempête s’éleva faisant monter des vagues jusqu’au sommet du rocher, en emportant la sirène. Depuis ce jour, elle ne fut plus jamais revue. Mais son charme agit toujours : on dit que parfois, la nuit, une étrange voix de femme se fait entendre près du rocher, douce et captivante…« 

L’australie et la légende du serpent arc en ciel

http://ekladata.com/qRpmGhZyUmrOdIJqgf-nOrPY6_U/fichier-australie.pdf

l y a très longtemps, au temps du rêve, quand tous les animaux et les esprits ne peuplaient pas encore la terre, un grand serpent multicolore décida de quitter le monde des esprits pour visiter la Terre.En se mouvant, son gigantesque corps forma sur les continent de nombreuses montagnes, ainsi que les lits des rivières. Un jour, il se retrouva sur une grande île et se rendit compte qu'à cet endroit précis, il pouvait communiquer avec le monde des esprits. Il appela alors certains animaux pour qu'ils puissent peupler cet endroit: le Koala, l’émeu, le kangourou, le wombat, l'ornithorynque… et il décida également d'invoquer des esprits protecteurs pour cette terre qui sa matérialisèrent en hommes et devinrent les premiers Aborigènes.Il planta enfin une riche végétation. Fatigué par son travail, il se jeta dans l'eauqui entourait l'île et son immense corps déplaça tant d'eau qu'elle alla remplir tout leslacs et rivières que le Serpent Arc en Ciel avait créés en se déplaçant.Quand il fut délassé, le Serpent s'aperçut qu'il lui restait une graine à planter. Une graine géante. Il décida de la déposer au centre du pays. Cependant la graine était si grande qu'il n'y eut jamais assez de pluie pour la faire germer.Au fil des années, la poussière recouvrit la graine. La poussière se transforma en roche.La graine est toujours là, en Australie, c'est Uluru, le rocher sacré des Aborigènes. Ont dit qu’aujourd’hui encore le serpent Arc en Ciel vit à son sommet et que lorsque lapluie tombe sur Uluru, le silence se fait parmi toute la faune qui l'entoure… Attendantde voir germer la graine géante.

Le fleuve du dragon,

sur le pdf « Les personnages légendaires de ma rivière »

« Du temps de nos ancêtres les Gaulois, le dieu Tanaris combattait déjà les serpents et les dragons personnifications des forces malfaisantes de l'eau. Le fleuve était alors, assimilé à un énorme reptile qui ondulait paisiblement mais qui subitement pouvait se déchaîner en causant de terribles ravages. Afin de supprimer ce culte populaire et les rites païens qui lui étaient attachés, le christianisme lui a substitué une kyrielle de saints sauroctones. C'est pourquoi tout au long des fleuves sont racontées les mêmes légendes de saints qui ayant tué un dragon ont, tout à la fois, écarté le paganisme, jugulé les crues et assaini le pays. Les habitants de Jargeau honorèrent, dès l'an mil, saint Vrain en espérant que celui qui avait maîtrisé les crues de la fontaine du Vaucluse et la “Couloubre” qui y vivait, pourrait les protéger contre celles de la Loire. Autres sujets, les ponts, autres légendes car l'homme du Moyen-Age voyait dans ces constructions audacieuses l'œuvre du Diable. Si ce n'était pas le cas, mieux valait de toute façon l'associer à ces constructions pour éviter que ne lui vienne l'envie de les détruire. Le pont, élément contre-nature s'il en est, était donc particulièrement exposé à ces croyances, c'est ainsi que ceux de Beaugency et de Jargeau font l'objet de récits légendaires »

Le passeur de la Loire

sur le pdf « Les personnages légendaires de ma rivière »

Le mythe du passage à toujours été très présent dans l’imaginaire, on retrouve cette symbolique dans les passeurs de fleuve qui étaient des personnages incontournables, car si on voulait traverser le fleuve on avait affaire à eux, et en même temps qui avaient la maîtrise de l’eau donc ils étaient forcément suspect. La légende du passeur de Loire se déroule sur le bord du fleuve impétueux tout près d’Angers au XV ème siècle. On y raconte qu’un Jean Bohalle, un passeur de Loire, serait à l’origine du nom du village : la Bohalle. C’est un personnage qui est toujours double, à la fois positif et négatif parce qu’on s’en remet un peu à lui, c’est un lieu dangereux, la Loire était difficile à traverser à certaines saisons. C’est un personnage très emblématique, très trouble qui a généré une quantité de légendes que l’on trouve partout en France.

Herbauges, la cité engloutie – Loire-Atlantique

https://www.enpaysdelaloire.com/loisirs-en-famille/a-la-decouverte-des-mythes-et-legendes-de-la-region Situé dans le Pays de Retz, le lac de Grand-Lieu est enveloppé d’une aura mystérieuse. On dit que cet immense plan d’eau recouvre les vestiges d’une ville engloutie, jadis nommée Herbauges. Au VIème siècle, alors qu’y règne la débauche, l’Évêque de Nantes demande à Saint Martin de Vertou d’évangéliser la population. Les habitants demeurent cependant hermétiques au christianisme et la colère divine gronde bientôt. Dieu enjoint Martin à quitter les lieux dans l’heure. Sous une pluie diluvienne, le diacre emmène dans sa fuite Romain et son épouse, ses deux seuls convertis, en leur intimant l’ordre de filer tête baissée, sans se retourner. La femme ne peut cependant résister et stoppe sa course. À peine le temps d’observer Herbauges engloutie à grand fracas par les eaux, qu’elle se change en pierre. On raconte qu’aujourd’hui, chaque 24 décembre, les oreilles attentives peuvent entendre, à minuit, les cloches de la ville disparue sonner depuis le fond du lac…

ESPACE NATUREL , GEOLOGIE ET SEDIMENTS DU SITE DE SAINT LUPIEN VISITE DU CHRONOGRAPHE LE 19 .09.19

CONTEXTE

Le chronographe est situé sur Saint Lupiens 1636 : Rezé était appelé Ratatium. A cette époque la Loire était aussi une frontière entre deux province : -Lyonnaise avec pour capitale Condevicnum (=Nantes) -Aquitaine avec pour capitale Limonum (=Poitier) Entre le 4 et le 6 eme siècle, moins d’infos mais dynamique quand même→ cimetière qui s’implante autour de Saint lupien ou encore basilique construite au 6eme siècle .

Au 2ème siècle la ville est a son apogée, notemment par -l’essor de l’import/export. -le confluent de plusieurs rivière : sèvre, erdre et Chezine. -proximité avec un chapelet d’îles qui facilitent le franchissement Les voies et tram urbaines étaient organisées selon le cours du fleuve.

Sud→ artisans en péripherie de la ville Ouest→ habitations appelé Domus (habitations modeste) Est→ quartier portuaire, grande activité économique. Bordé de portic

TRANSFORMATION DU PAYSAGE

Aujourd’hui les rives de la Loire se trouvent à près de 500m au nord du quai romain (révélé en 2011 lors des découverte archéo a saint lupien en 2011).Jusque dans les années 60 de l’eau coulait encore a cet endroit sous le nom de Seil de Rezé.

L’espace naturel de la Loire entre Nantes et rezé s’étendait a plus de 2km au 19eme s. Aujourd’hui il s’étend en 2 bras de 250m de large au niveau de Nantes.

Le paysage se transforme sous l’influence de -l’homme -changement climatique -naturellement

Petit a petit, le bras de Loire disparaît. Un banc de sable se forme (ensablement des berges). L’agglomération se réduit et se remplit de terre agricole. La présence de ces terres agricoles dans le temps a permis de preserver les vestiges du sous sol.

LA CAROTTE SÉDIMENTAIRE

Pour remonter avant le 17eme siecle ; il faut se referer aux archives enfouies dans le sol sous forme de sédiments Ceux qui participent a l’analyse des sédiments : -Céramologue -Palinologue -archéozoologue -géomorphologue : permet de determiner les periodes des dépots et leurs environnements.

Ce que l’on peut analyser dans les sédiments : -animaux et végétaux pris dans les sédiments -etude des géomorpholoque qui determine les périodes de dépots et leurs environnement. -morceaux de céramiques : leurs matière et forme renseigne sur la periode -carbone 14  (plus le taux est élevé plus c’est une couche récente) : permet de dater -Pollens (témoins de la végétation d’une periode et de son évolution dans le temps, permet de dsitinguer les pollens de plantes sauvages et de plantes cultivées, ainsi ils determine les activité humaine sur un site donné) et dinokyste (envellope de protection de certaines micros algues qui permettent de se proteger dans des kystes en cas de condition défavorable. -Foraminifères (être vivant d’une seules cellule doté d’une coquille appelé « test ». Les tests se concervent après lamort et sont prisonnier des sédiments. ) -Les amibes à thèques ((vivent dans les eaux douces) La présence de foraminifères et d’amibes a thèques permet de renseigner sur les origines maritimes ou continental des sédiements par le taux de salinité.

L’interpreation des sédiments permet de les diviser en 2 catégories : -les sédiements sableux dans l’estuaire de la loire→ dynamique continental -les sédiment marin avec l’élévation de niveau de la mer+le jeu des marée→ dynamique maritimes. Le paysage de l’estuaire ainsi que le cours de la loire sont influencé par ces deux dynamiques.

La ville de Ratatium est en bois et en pierre. Le bois est difficilement conservable dans le temps : le site est exceptionnel pour ça aussi, on a retrouver du bois datant de plusieurs siecle (conserver dans des milieux humide il se garde + faiclement.)

Granit→ utiliser comme élément de parement sur les murs antique (gisement local) Micaschiste→ utiliser en grandes quantitè pour aménager les berges

LES MICROS RESTES

izumi.txt · Dernière modification : 2024/02/08 17:41 de 127.0.0.1